L’occasion de faire un mini tour du Gard et de découvrir les 18 communes présentes sur le tracé de l’étape 6 du Tour de France 2020.
Saint-Brès est un petit village de 600 habitants, situé en limite du Gard et de l’Ardèche, qui vous charmera par ses maisons en pierre joliment restaurées. En empruntant ses petits chemins où il fait bon se promener vous pourrez découvrir le Ranc d’Uzège. Vous pourrez admirer son église avec abside du XIIème siècle, faire une halte auprès du lavoir (18ème siècle) témoin des lessives d’antan.
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Dominé par le Dugas et la tour Guisquet, le centre-ville de Saint-Ambroix aux empreintes médiévales bien préservées est à visiter, ainsi que la large avenue du Portalet où se côtoient les commerçants. La vallée de la Cèze au Nord de la ville abrite de nombreux sites d’une beauté naturelle favorable aux randonnées pédestres et aux parcours cyclistes.
(source www.saint-ambroix.fr)
Entre calcaire et schiste, entre oliviers et châtaigniers, le village des Mages vous accueille au cœur de la Vallée de l’Auzonnet….
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Né en 1955 du mariage entre le village de Saint-Julien et le hameau des Rosiers ; Saint Julien, village le plus ancien de la commune, est appelé jusqu’alors « Saint-Julien-de-Valgalgues ». Aujourd’hui Saint-Julien revendique son patrimoine historique et culturel riche et multiplie les initiatives de développement. A quelques minutes d’Alès et des Cévennes, c’est un lieu convivial où la qualité de vie est très appréciable.
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Cette commune marquée par son passé médiéval et minier, à cheval entre les traditions cévenoles et la modernité a réussi le pari de conserver son patrimoine historique tout en accueillant le XXIe siècle à bras ouvert.
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Alès offre un visage pluriel, conjuguant douceur de vivre et vitalité d’une ville, centre de tout un bassin de vie. Il s’y passe toujours quelque chose ! À Alès, on peut profiter d’un spectacle au théâtre Le Cratère, découvrir des collections d’art moderne au musée PAB, se passionner d’archéologie au musée du Colombier… Curieux de découvertes ? La Mine Témoin d’Alès, Le Préhistorama de Rousson, le musée du Scribe à Saint Christol lez Alès ou le petit train touristique d’Alès surprendront les enfants (et les plus grands :-)). À vous de choisir !
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Située à la croisée de la plaine languedocienne et de la montagne cévenole, la ville de Saint-Christol-lès-Alès offre des paysages inoubliables, une nature généreuse et une histoire forte.
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En bordure de la grande faille des Cévennes, Bagard est un petit village rural situé à 7 km d’Alès. […] Ses garrigues dominent nettement la plaine et offre de beaux point de vue. Une falaise abrupte domine la Valat du Carriol.
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Anduze, Porte des Cévennes : une petite ville authentique, qui ravira tous le monde ! Parce qu’ici, il y en a pour tous les goûts : les adeptes du patrimoine trouveront des beaux monuments, les sportifs pourront promener sur des chemins de randonnées, les produits du terroir régaleront les gourmands, et les paysages magnifique finiront de mettre tout le monde d’accord.
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La commune de Tornac s’étend des derniers contreforts des Cévennes à la plaine viticole et la garrigue. Elle est constituée de 18 hameaux bâtis pour les plus pittoresques sur le piémont cévenol et qui parsèment son territoire juste à côté de la commune d’Anduze.
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Le village médiéval de Durfort dans le Gard est établi sur un mamelon, blotti autour de son château du XIIe siècle. Durfort est une « Circulade », terme qui désigne un type de villages médiévaux identifiés sur le territoire du Languedoc-Roussillon, dont la structure spatiale très régulière est basée sur la forme du cercle et de ses dérivés.
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KayWren / CC BY-SA (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0)
Le voyageur qui arrive de Nîmes ou du Vigan, découvre le magnifique cirque des contreforts des Cévennes où se niche Saint-Hippolyte-du-Fort : la ville » porte des Cévennes », est un carrefour entre le pays des châtaigniers et celui de la vigne. Traversée par les eaux du Vidourle – fleuve côtier capricieux – la ville aux treize fontaines et aux 21 cadrans solaires a vu s’épanouir des filatures, des tanneries, des draperies, des fabricants de galoches…
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La Cadière est située au débouché des gorges de l’Argentesse, au pied de la montagne de la Fage. Le vieux village de maisons anciennes serrées autour de l’église romane du XIIème siècle élargit son territoire en s’étalant, au milieu des vignes, dans la vallée de l’Argentesse.
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Par Lucastristan — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=27969471
Située à 1h à l’ouest de Nîmes, dans le Parc National des Cévennes, Sumène se découvre au débouché des Gorges du Rieutord, nichée au cœur de montagnes façonnées en terrasses, témoins du travail séculaire des paysans cévenols.
(source www.sudcevennes.com)
St André de Majencoules est un village très pittoresque avec ses maisons bâties sur un éperon rocheux et groupées autour du château et de l’église.
L’architecture y est caractéristique des Cévennes avec des maisons déjà hautes à leur construction et rehaussées ensuite pour l’élevage du ver à soie, principalement au XIXème siècle ; la filature porte encore témoignage de la partie industrielle de la production de soie grège.
(source www.sudcevennes.com)
Photo www.sudcevennes.com
Photo Site Internet – www.levigan.fr
Si les premières traces de peuplement remontent au IIIe siècle avant notre ère, Le Vigan prend notamment de l’importance au Moyen-âge avec en 1053 la fondation d’un prieuré. Confié aux moines bénédictins de l’Abbaye de Saint-Victor-de-Marseille, l’existence d’un hôpital atteste du rôle central du bourg dans la contrée. Aujourd’hui, le coeur de ville offre un ensemble étroit de ruelles en damier aux noms évoquant cette vieille cité : rue du Pouzadou (du petit puit en Occitan), rue du Four ou encore rue de la Boucherie.
(source www.tourismecevennesnavacelles.com)
La particularité de la commune de Mandagout tient à son habitat dispersé en hameaux pittoresques cernés par les bois de châtaigniers. Son territoire est traversé par une ancienne draille montant des vallées vers les cols de La Luzette et de l’Espérou, rappelant l’importance des chemins de crêtes autrefois avant la construction des routes en fond de vallées. Son riche patrimoine hydraulique permet de comprendre les étapes de la récupération de l’eau et son utilisation pour les cultures des traversiers.
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La commune nouvelle de Val-d’Aigoual est composée des communes historiques de Notre-Dame de la Rouvière et de Valleraugue, s’étend sur un territoire de presque 100 km² (94,84 km²), dont plus de mille mètres de dénivelé entre son point culminant, le Mont Aigoual (1567 m), et la vallée (273 m).
(source www.tourismecevennesnavacelles.com)